Javier Perianes, Münchner Philharmoniker - Bartók: Concerto for Orchestra & Piano Concerto No. 3 (2018) [Hi-Res]
BAND/ARTIST: Javier Perianes, Münchner Philharmoniker, Pablo Heras-Casado
- Title: Bartók: Concerto for Orchestra & Piano Concerto No. 3
- Year Of Release: 2018
- Label: harmonia mundi
- Genre: Classical
- Quality: flac lossless / flac 24bits - 96.0kHz +booklet
- Total Time: 01:02:10
- Total Size: 276 mb / 1.09 gb
- WebSite: Album Preview
Tracklist
01. Piano Concerto No. 3, Sz. 119: I. Allegretto
02. Piano Concerto No. 3, Sz. 119: II. Adagio religioso
03. Piano Concerto No. 3, Sz. 119: III. Allegro vivace
04. Concerto for Orchestra, Sz. 116: I. Introduzione. Andante non troppo
05. Concerto for Orchestra, Sz. 116: II. Giuoco delle coppie. Allegretto scherzando
06. Concerto for Orchestra, Sz. 116: III. Elegia. Andante non troppo
07. Concerto for Orchestra, Sz. 116: IV. Intermezzo interrotto. Allegretto
08. Concerto for Orchestra, Sz. 116: V. Finale. Pesante-Presto
Les deux ultimes chefs-d’œuvre orchestraux de Bartók, écrits lors de son exil états-unien, sont ici réunis ; ce sont deux « concertos », l’un pour piano solo, l’autre pour tout l’orchestre, d’où son singulier nom de Concerto pour orchestre. Oh, Bartók n’est pas le premier à l’avoir utilisé : on le trouve dès 1925 chez Hindemith, en 1931 chez Malipiero, en 1937 chez Casella, deux ans plus tard chez Kodály. Composé d’un jet lors d’une rémission inespérée de la leucémie, d’août à octobre 1943, le Concerto pour orchestre est la seule œuvre orchestrale d’une telle envergure chez le musicien hongrois. Fascinant par son hédonisme sonore comme par la virtuosité qu’il requiert de chaque pupitre, c’est une œuvre de bilan. Il récapitule les types d’écriture favoris de Bartók et les folklores qui l’ont inspiré, de l’Europe centrale aux musiques arabes. Il révèle également la variété de l’harmonie bartókienne, allant de la clarté diatonique et modale issue de la musique populaire jusqu’à un chromatisme plus âpre mais toujours lyrique. Quant au Troisième Concerto pour piano, il était presque terminé à la mort du compositeur : il ne restait que dix-sept mesures à orchestrer. C’est la seule partition pour piano que Bartók n’a pas composée à sa propre intention, puisqu’il l’écrivit pour son épouse Ditta Pásztory – qui n’eut jamais le cœur de la jouer… C’est ici Javier Perianes qui officie, et surtout, la baguette est tenue par Pablo Heras-Casado, qui sait retranscrire le Concerto pour orchestre avec une fougue et une limpidité qui lui restitue toute sa modernité.
01. Piano Concerto No. 3, Sz. 119: I. Allegretto
02. Piano Concerto No. 3, Sz. 119: II. Adagio religioso
03. Piano Concerto No. 3, Sz. 119: III. Allegro vivace
04. Concerto for Orchestra, Sz. 116: I. Introduzione. Andante non troppo
05. Concerto for Orchestra, Sz. 116: II. Giuoco delle coppie. Allegretto scherzando
06. Concerto for Orchestra, Sz. 116: III. Elegia. Andante non troppo
07. Concerto for Orchestra, Sz. 116: IV. Intermezzo interrotto. Allegretto
08. Concerto for Orchestra, Sz. 116: V. Finale. Pesante-Presto
Les deux ultimes chefs-d’œuvre orchestraux de Bartók, écrits lors de son exil états-unien, sont ici réunis ; ce sont deux « concertos », l’un pour piano solo, l’autre pour tout l’orchestre, d’où son singulier nom de Concerto pour orchestre. Oh, Bartók n’est pas le premier à l’avoir utilisé : on le trouve dès 1925 chez Hindemith, en 1931 chez Malipiero, en 1937 chez Casella, deux ans plus tard chez Kodály. Composé d’un jet lors d’une rémission inespérée de la leucémie, d’août à octobre 1943, le Concerto pour orchestre est la seule œuvre orchestrale d’une telle envergure chez le musicien hongrois. Fascinant par son hédonisme sonore comme par la virtuosité qu’il requiert de chaque pupitre, c’est une œuvre de bilan. Il récapitule les types d’écriture favoris de Bartók et les folklores qui l’ont inspiré, de l’Europe centrale aux musiques arabes. Il révèle également la variété de l’harmonie bartókienne, allant de la clarté diatonique et modale issue de la musique populaire jusqu’à un chromatisme plus âpre mais toujours lyrique. Quant au Troisième Concerto pour piano, il était presque terminé à la mort du compositeur : il ne restait que dix-sept mesures à orchestrer. C’est la seule partition pour piano que Bartók n’a pas composée à sa propre intention, puisqu’il l’écrivit pour son épouse Ditta Pásztory – qui n’eut jamais le cœur de la jouer… C’est ici Javier Perianes qui officie, et surtout, la baguette est tenue par Pablo Heras-Casado, qui sait retranscrire le Concerto pour orchestre avec une fougue et une limpidité qui lui restitue toute sa modernité.
Year 2018 | Classical | FLAC / APE | HD & Vinyl
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