Rachel Zeffira - The Deserters (2012)
BAND/ARTIST: Rachel Zeffira
- Title: The Deserters
- Year Of Release: 2012
- Label: Raf
- Genre: Indie Pop, Dream Pop
- Quality: flac lossless (tracks)
- Total Time: 00:36:28
- Total Size: 193 mb
- WebSite: Album Preview
Tracklist
01. The Deserters
02. Here On In
03. Letters From Tokyo (Sayonara)
04. Front Door
05. Break The Spell
06. Silver City Days
07. Star
08. To Here Knows Where
09. Waiting For Sylvia
10. Goodbye Divine
Mais qui peuvent bien être ces déserteurs assez fous pour fuir à l'approche de Rachel Zeffira ? Peut-être ce journaliste qui a un jour écrit qu'elle ne savait pas chanter et provoqué son départ de l'univers de la musique classique ? Il faudrait d'ailleurs remercier ce garçon perspicace d'avoir envoyé pareille voix vers la pop et le rock.La soprano canadienne avait déjà plus que séduit dans son hommage aux girl groups et à Phil Spector sur Cat's Eyes en 2011 avec son complice Faris Badwan. Cette fois son inspiration ne doit rien à personne dans un album qu'elle a composé, produit, arrangé, et en grande partie joué seule. Cet enchantement entre pop brumeuse, musique classique, et rock alternatif ne doit rien à personne et mérite vraiment que l'on s'y arrête.Avec une tessiture qui n'est pas sans rappeler Julee Cruise, Hope Sandoval, ou Alison goldfrapp avant qu'elle ne s'englue dans la dance, Rachel Zeffira est déjà un régal à écouter. Si on y ajoute la brillance d'une technique venue de l'opéra, le sublime n'est pas loin. D'autant qu'elle parvient à faire parfaitement sonner les instruments classiques présents dans sa pop, bien aidée par l'acoustique des studios Abbey Road où elle a englouti ses premières royalties pour enregistrer l'album.En dix titres, The Deserters propulse dans un univers cotonneux, onirique à souhait, et suffisamment personnel pour ne pas appeler trop de comparaisons. Après être tombé raide dingue amoureux de « Star » avec son violoncelle et la voix candide de Rachel Zeffira, vous pouvez vous laisser couler le long des descentes de clavier du piano de « Silver City Days », à moins que vous ne décidiez de prendre à bras le corps « Break the Spell » et ses accords à la Cocteau Twins.Ravissement de tous les instants, The Deserters est un disque précieux qui incline plus à rempiler qu'à abandonner son poste. Un vrai bonheur.
01. The Deserters
02. Here On In
03. Letters From Tokyo (Sayonara)
04. Front Door
05. Break The Spell
06. Silver City Days
07. Star
08. To Here Knows Where
09. Waiting For Sylvia
10. Goodbye Divine
Mais qui peuvent bien être ces déserteurs assez fous pour fuir à l'approche de Rachel Zeffira ? Peut-être ce journaliste qui a un jour écrit qu'elle ne savait pas chanter et provoqué son départ de l'univers de la musique classique ? Il faudrait d'ailleurs remercier ce garçon perspicace d'avoir envoyé pareille voix vers la pop et le rock.La soprano canadienne avait déjà plus que séduit dans son hommage aux girl groups et à Phil Spector sur Cat's Eyes en 2011 avec son complice Faris Badwan. Cette fois son inspiration ne doit rien à personne dans un album qu'elle a composé, produit, arrangé, et en grande partie joué seule. Cet enchantement entre pop brumeuse, musique classique, et rock alternatif ne doit rien à personne et mérite vraiment que l'on s'y arrête.Avec une tessiture qui n'est pas sans rappeler Julee Cruise, Hope Sandoval, ou Alison goldfrapp avant qu'elle ne s'englue dans la dance, Rachel Zeffira est déjà un régal à écouter. Si on y ajoute la brillance d'une technique venue de l'opéra, le sublime n'est pas loin. D'autant qu'elle parvient à faire parfaitement sonner les instruments classiques présents dans sa pop, bien aidée par l'acoustique des studios Abbey Road où elle a englouti ses premières royalties pour enregistrer l'album.En dix titres, The Deserters propulse dans un univers cotonneux, onirique à souhait, et suffisamment personnel pour ne pas appeler trop de comparaisons. Après être tombé raide dingue amoureux de « Star » avec son violoncelle et la voix candide de Rachel Zeffira, vous pouvez vous laisser couler le long des descentes de clavier du piano de « Silver City Days », à moins que vous ne décidiez de prendre à bras le corps « Break the Spell » et ses accords à la Cocteau Twins.Ravissement de tous les instants, The Deserters est un disque précieux qui incline plus à rempiler qu'à abandonner son poste. Un vrai bonheur.
Pop | Indie | FLAC / APE
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