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Orchestra da Camera 'Ferrucio Busoni', Massimo Belli - Idyll: Serenades by Janácek, Elgar, Kalinnikov (2016) [Hi-Res]

Orchestra da Camera 'Ferrucio Busoni', Massimo Belli - Idyll: Serenades by Janácek, Elgar, Kalinnikov (2016) [Hi-Res]
  • Title: Idyll: Serenades by Janácek, Elgar, Kalinnikov
  • Year Of Release: 2016
  • Label: Brilliant Classics
  • Genre: Classical
  • Quality: flac lossless (tracks) / flac 24bits - 44.1kHz +Booklet
  • Total Time: 00:53:08
  • Total Size: 295 / 543 mb
  • WebSite:
Tracklist

01. Serenade for Strings in G Minor: Andantino
02. Idyll for String Orchestra: I. Andante
03. Idyll for String Orchestra: II. Allegro
04. Idyll for String Orchestra: III. Moderato
05. Idyll for String Orchestra: IV. Allegro
06. Idyll for String Orchestra: V. Adagio
07. Idyll for String Orchestra: VI. Scherzo
08. Idyll for String Orchestra: VII. Moderato
09. Serenade for String Orchestra, Op. 20: I. Allegro piacevole
10. Serenade for String Orchestra, Op. 20: II. Larghetto
11. Serenade for String Orchestra, Op. 20: III. Allegretto

Orchestra da Camera 'Ferrucio Busoni', Massimo Belli - Idyll: Serenades by Janácek, Elgar, Kalinnikov (2016) [Hi-Res]


Malgré le soutien actif de Tchaikovsky, malgré l’aide de Rachmaninov, le malheureux Vassili Kalinnikov ne connut jamais la gloire à laquelle il aurait sans doute eu droit. Ajoutez à cela qu’il mourut à l’âge de 34 ans, terrassé par la tuberculose, après une vie passée à courir le cachet – bassoniste, violoniste, timbalier, là où on voulait bien de lui… On lui doit quand même deux symphonies, ainsi que la présente Sérénade pour cordes de 1891, et dont on prendra le ton assez tchaikovskyen comme un hommage au grand maître. Suit l’Idylle pour cordes de Janáček, écrite par le tout jeune compositeur alors âgé de 24 ans – on est en 1878 –, de sorte que cela n’étonnera personne si l’on affirme qu’il est quasiment impossible, à l’écoute, de l’attribuer à Janáček. Dvořák, Suk, Smetana pourquoi pas… Et pourtant ! L’album de l’Orchestre de chambre Ferruccio Busoni s’achève avec la Sérénade pour cordes d’Elgar, écrite en 1892 – on remarquera que les trois ouvrages de l’enregistrement furent tous composés dans un mouchoir de poche temporel –, une grande réussite pour le jeune compositeur qui entrait là dans la cour des grands. Sa Sérénade mérite de figurer aux côtés de celles de Dvořák, Tchaikovsky ou Suk.


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