Christian Poltéra & Munich Chamber Orchestra - Haydn & Hindemith: Cello Works (2022) [Hi-Res]
BAND/ARTIST: Christian Poltéra, Munich Chamber Orchestra
- Title: Haydn & Hindemith: Cello Works
- Year Of Release: 2022
- Label: BIS
- Genre: Classical
- Quality: flac lossless (tracks) / flac 24bits - 96.0kHz +Booklet
- Total Time: 01:00:57
- Total Size: 318 mb / 1.12 gb
- WebSite: Album Preview
Tracklist
01. Cello Concerto No. 1 in C Major, Hob. VIIb:1: I. Moderato
02. Cello Concerto No. 1 in C Major, Hob. VIIb:1: II. Adagio
03. Cello Concerto No. 1 in C Major, Hob. VIIb:1: III. Finale. Allegro molto
04. Cello Concerto No. 2 in D Major, Hob. VIIb:2: I. Allegro moderato
05. Cello Concerto No. 2 in D Major, Hob. VIIb:2: II. Adagio
06. Cello Concerto No. 2 in D Major, Hob. VIIb:2: III. Rondo. Allegro
07. Symphony No. 13 in D Major, Hob. I:13: II. Adagio cantabile
08. Trauermusik for Cello & Orchestra: I. Langsam
09. Trauermusik for Cello & Orchestra: II. Ruhig bewegt
10. Trauermusik for Cello & Orchestra: III. Lebhaft
11. Trauermusik for Cello & Orchestra: IV. Choral "Für deinen Thron tret ich hiermit". Sehr langsam
Le violoncelliste suisse-allemand Christian Poltéra fait chanter son Stradivarius (le « Mara » de 1711) avec bonheur dans les deux concertos pour violoncelle de Joseph Haydn et dans cette transcription pour violoncelle de la crépusculaire Trauermusik de Paul Hindemith composée à l’origine pour son instrument, l’alto dont il jouait fort bien.
Malicieux, Christian Poltéra nous offre une sorte de « bis » avec l’Adagio cantabile de la Symphonie n° 13 de Haydn qui contient un grand solo de violoncelle, sinueux et doux, composé pour Joseph Weigl, le jeune violoncelliste virtuose de l’orchestre du prince Esterhazy. La voix chaude du splendide instrument de Christian Poltéra donne une tonalité presque élégiaque aux trois mouvements lents de Haydn. Mais le violoncelliste, qui dirige par ailleurs tout l’ensemble du bout de son archet, sait devenir un superbe étalon de course dans les parties rapides, en particulier dans l’Allegro molto final du Concerto en ré majeur qu’il cravache à un train d’enfer.
De passage à Londres pour jouer son concerto pour alto et orchestre (Der Schwanendreher), Paul Hindemith apprend l’avant-veille du concert le décès du roi George V le 20 janvier 1936. Il compose alors en quelques heures cette Trauermusik (Musique funèbre) en quatre brefs mouvements qu’il jouera à la place du concerto annoncé.
01. Cello Concerto No. 1 in C Major, Hob. VIIb:1: I. Moderato
02. Cello Concerto No. 1 in C Major, Hob. VIIb:1: II. Adagio
03. Cello Concerto No. 1 in C Major, Hob. VIIb:1: III. Finale. Allegro molto
04. Cello Concerto No. 2 in D Major, Hob. VIIb:2: I. Allegro moderato
05. Cello Concerto No. 2 in D Major, Hob. VIIb:2: II. Adagio
06. Cello Concerto No. 2 in D Major, Hob. VIIb:2: III. Rondo. Allegro
07. Symphony No. 13 in D Major, Hob. I:13: II. Adagio cantabile
08. Trauermusik for Cello & Orchestra: I. Langsam
09. Trauermusik for Cello & Orchestra: II. Ruhig bewegt
10. Trauermusik for Cello & Orchestra: III. Lebhaft
11. Trauermusik for Cello & Orchestra: IV. Choral "Für deinen Thron tret ich hiermit". Sehr langsam
Le violoncelliste suisse-allemand Christian Poltéra fait chanter son Stradivarius (le « Mara » de 1711) avec bonheur dans les deux concertos pour violoncelle de Joseph Haydn et dans cette transcription pour violoncelle de la crépusculaire Trauermusik de Paul Hindemith composée à l’origine pour son instrument, l’alto dont il jouait fort bien.
Malicieux, Christian Poltéra nous offre une sorte de « bis » avec l’Adagio cantabile de la Symphonie n° 13 de Haydn qui contient un grand solo de violoncelle, sinueux et doux, composé pour Joseph Weigl, le jeune violoncelliste virtuose de l’orchestre du prince Esterhazy. La voix chaude du splendide instrument de Christian Poltéra donne une tonalité presque élégiaque aux trois mouvements lents de Haydn. Mais le violoncelliste, qui dirige par ailleurs tout l’ensemble du bout de son archet, sait devenir un superbe étalon de course dans les parties rapides, en particulier dans l’Allegro molto final du Concerto en ré majeur qu’il cravache à un train d’enfer.
De passage à Londres pour jouer son concerto pour alto et orchestre (Der Schwanendreher), Paul Hindemith apprend l’avant-veille du concert le décès du roi George V le 20 janvier 1936. Il compose alors en quelques heures cette Trauermusik (Musique funèbre) en quatre brefs mouvements qu’il jouera à la place du concerto annoncé.
Year 2022 | Classical | FLAC / APE | HD & Vinyl
As a ISRA.CLOUD's PREMIUM member you will have the following benefits:
- Unlimited high speed downloads
- Download directly without waiting time
- Unlimited parallel downloads
- Support for download accelerators
- No advertising
- Resume broken downloads