Alice Cooper - The Essential Alice Cooper - The Epic Years (2018)
BAND/ARTIST: Alice Cooper
- Title: The Essential Alice Cooper - The Epic Years
- Year Of Release: 2018
- Label: Epic - Legacy
- Genre: Rock
- Quality: flac lossless
- Total Time: 02:26:16
- Total Size: 1.01 gb
- WebSite: Album Preview
Tracklist
CD1
01. Poison
02. Bed of Nails
03. Hey Stoopid
04. House of Fire
05. Spark in the Dark
06. Trash
07. Hell Is Living Without You
08. I'm Your Gun
09. Snakebite
10. Burning Our Bed
11. Dangerous Tonight
12. Might As Well Be On Mars
13. Hurricane Years
14. Bad Place Alone
15. You're My Temptation
16. Stolen Prayer
CD2
01. Love's a Loaded Gun
02. Feed My Frankenstein
03. Lost in America
04. Only My Heart Talkin'
05. It's Me
06. Little By Little
07. Die for You
08. Dirty Dreams
09. Wind-Up Toy
10. Nothing's Free
11. Sideshow
12. Unholy War
13. Cleansed By Fire
14. No More Mr. Nice Guy (Live at the NEC, Birmingham, UK-December 1989)
15. Billion Dollar Babies (Live at the NEC, Birmingham, UK-December 1989)
16. School's Out (Live at the NEC, Birmingham, UK-December 1989)
La question qui se pose bien évidemment est : qui a besoin d’une nouvelle compilation du maître du shock rock ? Même si on ne compte plus toutes celles sorties depuis le premier Greatest Hits en 1974, statistiquement, il reste encore une immense majorité de gens sur cette planète qui ne possèdent pas un seul de ses albums ou même qui ne l’ont jamais écouté. Donc la question reviendrait plutôt à : peut-on commencer son initiation avec ce nouveau double ? La réponse sera oui et non. Comme le libellé « Epic Years » l’indique, ce best of ne couvre que la période où Alice Cooper a été sous contrat avec le puissant label américain. Une période ô combien faste puisqu’elle s’est inaugurée en 1989 sur le monumental Trash, avec son cortège de hits parfaitement calibrés pour les radios FM (Poison, Bed of Nails House on Fire, Only My Heart Talkin) et une poignée d’autres qui sont à classer dans les classiques cooperiens (Spark in the Dark, Trash, Hell Is Living Without You, I’m Your Gun). Cet album vendu à plus de 2 millions d’exemplaires a complètement relancé la carrière de Cooper qui s’en étonnait lui-même : « Je croisais des gamins dans la rue qui pensaient que c’était mon premier album. » Mais il devait aussi sa popularité à la présence d’invités de marque, dont Aerosmith presque au complet (Steven Tyler, Joe Perry, Tom Hamilton et Joey Kramer) Jon Bon Jovi et son ancien complice Richie Sambora ou Steve Lukather (Toto)… Mais huit morceaux sur dix extraits de Trash, c’est soit exagéré, soit mesquin.
Sans être un échec, loin s’en faut, l’album suivant n’a pas connu le même succès, malgré la même recette en plus ambitieuse, avec encore plus de convives prestigieux (Ozzy Osbourne, Slash, Joe Satriani, Steve Vai ou deux membres de Mötley Crüe, Nikki Sixx et Mick Mars…). Pourtant, l’intégralité de son contenu a été retenue ici. Un seul morceau a été écarté de l’excellent The Last Temptation, mais les collaborations avec Chris Cornell ont été fort heureusement préservées (Stolen Prayer et Unholly War). Pour justifier malgré tout la mention « essentiel » qui aurait pu paraître quelque peu excessive, trois classiques ont été extraits du live A Fistful of Alice et non des moindres, No More Mr. Nice Guy, Billion Dollar Babies et School’s Out, mais seul ce dernier bénéficie d’un véritable guest, Sammy Hagar, alors que Rob Zombie ou Slash étaient également venus saluer Cooper sur scène sur d’autres morceaux. Quelques titres en moins des albums studio au profit d’autres provenant de ce live de bonne facture auraient probablement été une option plus judicieuse. Mais s’il faut répondre plus clairement à la question posée plus haut, on penchera pour l’affirmative. On peut tout à fait commencer par cet album puisqu’il correspond à des années où il n’y pas grand-chose à jeter dans ce que produisait Cooper. Mais il faudra vite pousser l’exploration plus loin…
CD1
01. Poison
02. Bed of Nails
03. Hey Stoopid
04. House of Fire
05. Spark in the Dark
06. Trash
07. Hell Is Living Without You
08. I'm Your Gun
09. Snakebite
10. Burning Our Bed
11. Dangerous Tonight
12. Might As Well Be On Mars
13. Hurricane Years
14. Bad Place Alone
15. You're My Temptation
16. Stolen Prayer
CD2
01. Love's a Loaded Gun
02. Feed My Frankenstein
03. Lost in America
04. Only My Heart Talkin'
05. It's Me
06. Little By Little
07. Die for You
08. Dirty Dreams
09. Wind-Up Toy
10. Nothing's Free
11. Sideshow
12. Unholy War
13. Cleansed By Fire
14. No More Mr. Nice Guy (Live at the NEC, Birmingham, UK-December 1989)
15. Billion Dollar Babies (Live at the NEC, Birmingham, UK-December 1989)
16. School's Out (Live at the NEC, Birmingham, UK-December 1989)
La question qui se pose bien évidemment est : qui a besoin d’une nouvelle compilation du maître du shock rock ? Même si on ne compte plus toutes celles sorties depuis le premier Greatest Hits en 1974, statistiquement, il reste encore une immense majorité de gens sur cette planète qui ne possèdent pas un seul de ses albums ou même qui ne l’ont jamais écouté. Donc la question reviendrait plutôt à : peut-on commencer son initiation avec ce nouveau double ? La réponse sera oui et non. Comme le libellé « Epic Years » l’indique, ce best of ne couvre que la période où Alice Cooper a été sous contrat avec le puissant label américain. Une période ô combien faste puisqu’elle s’est inaugurée en 1989 sur le monumental Trash, avec son cortège de hits parfaitement calibrés pour les radios FM (Poison, Bed of Nails House on Fire, Only My Heart Talkin) et une poignée d’autres qui sont à classer dans les classiques cooperiens (Spark in the Dark, Trash, Hell Is Living Without You, I’m Your Gun). Cet album vendu à plus de 2 millions d’exemplaires a complètement relancé la carrière de Cooper qui s’en étonnait lui-même : « Je croisais des gamins dans la rue qui pensaient que c’était mon premier album. » Mais il devait aussi sa popularité à la présence d’invités de marque, dont Aerosmith presque au complet (Steven Tyler, Joe Perry, Tom Hamilton et Joey Kramer) Jon Bon Jovi et son ancien complice Richie Sambora ou Steve Lukather (Toto)… Mais huit morceaux sur dix extraits de Trash, c’est soit exagéré, soit mesquin.
Sans être un échec, loin s’en faut, l’album suivant n’a pas connu le même succès, malgré la même recette en plus ambitieuse, avec encore plus de convives prestigieux (Ozzy Osbourne, Slash, Joe Satriani, Steve Vai ou deux membres de Mötley Crüe, Nikki Sixx et Mick Mars…). Pourtant, l’intégralité de son contenu a été retenue ici. Un seul morceau a été écarté de l’excellent The Last Temptation, mais les collaborations avec Chris Cornell ont été fort heureusement préservées (Stolen Prayer et Unholly War). Pour justifier malgré tout la mention « essentiel » qui aurait pu paraître quelque peu excessive, trois classiques ont été extraits du live A Fistful of Alice et non des moindres, No More Mr. Nice Guy, Billion Dollar Babies et School’s Out, mais seul ce dernier bénéficie d’un véritable guest, Sammy Hagar, alors que Rob Zombie ou Slash étaient également venus saluer Cooper sur scène sur d’autres morceaux. Quelques titres en moins des albums studio au profit d’autres provenant de ce live de bonne facture auraient probablement été une option plus judicieuse. Mais s’il faut répondre plus clairement à la question posée plus haut, on penchera pour l’affirmative. On peut tout à fait commencer par cet album puisqu’il correspond à des années où il n’y pas grand-chose à jeter dans ce que produisait Cooper. Mais il faudra vite pousser l’exploration plus loin…
Year 2018 | Rock | FLAC / APE
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