Disc 1 Acte premier 01: Ouverture 02: Scène 1 - Chœur et Scène « Réjouis-toi, ville sacrée » (L’Hiérophante, Peuple et Guerriers) 03: Scène 2 - Duo « Vous, amis de la gloire, et vous, peuples fidèles » (Cassandre, Antigone, Chœur) 04: Scène 3 - Scène « Voici l’instant de lire dans son âme » (Antigone, Cassandre) 05: Scène 3 - Air « Ô souvenir épouvantable ! » (Cassandre) 06: Scène 3 - Scène « Aurait-il pénétré ce funeste mystère ? » (Antigone, Cassandre, Hermas) 07: Scène 4 - Récit et Air « Ô vous, que ma reconnaissance » (Olimpie, Cassandre) 08: Scène 4 - Duo « Ô doux accents, bonheur suprême » (Cassandre, Olimpie) 09: Scène 5 - Scène « Diane a désigné celle de nos prêtresses » (L’Hiérophante, Cassandre, Olimpie) 10: Scène 6 - Scène « À la voix de ses dieux que l’univers réponde » (Antigone) 11: Scène 6 - Scène et Marche «: Ah ! voici le moment » (Antigone); Scène 7 - « Ô toi qui disposes » (L’Hiérophante, Olimpie, Cassandre, Antigone, Chœur) 12: Scène 7 - Cérémonie « Dieux, auteurs de mon être » (Cassandre, Olimpie, L’Hiérophante, Antigone, Chœur) 13: Scène 7 - Chœur dansé et Scène « De fraîches guirlandes » (Olimpie, Cassandre, L’Hiérophante, Antigone, Chœur) 14: Scène 8 - Scène « Dans quels sombres chagrins » (Statira, L’Hiérophante, Chœur) 15: Scène 8 - Finale « De Cassandre ! » (Statira, Cassandre, Olimpie, L’Hiérophante, Antigone, Chœur)
Disc 2 Acte deuxième 01: Scène 1 - Prière « Sur ta prêtresse » (Un Prêtre, Chœur) 02: Scène 2 - Scène « Ô déplorable mère ! » (Statira) 03: Scène 3 - Scène « Vous avez profané la fête de nos dieux » (L’Hiérophante, Statira, Chœur) 04: Scène 3 - Air et Scène « Implacables tyrans » (Statira, L’Hiérophante, Chœur) 05: Scène 3 - Air et Scène « Dieux ! pardonnez à mes injustes plaintes ! » (Statira, L’Hiérophante) 06: Scène 4 - Scène « Je crois entendre leurs accents » (Statira, Olimpie) 07: Scène 4 - Duo « N’auriez-vous d’une mère » (Statira, Olimpie) 08: Scène 5 - Scène « Oui, c’est votre Olimpie » (Cassandre, Statira, Olimpie) 09: Scène 5 - Trio « Chère et tendre Olimpie, idole de mon âme » (Cassandre, Olimpie, Statira) 10: Scène 6 - Scène « Accourez saluer votre reine » (Antigone, L’Hiérophante, Statira, Cassandre, Olimpie, Chœur) 11: Scène 6 - Finale « Soldats de mon époux » (Statira, Cassandre, Olimpie, Antigone, L’Hiérophante, Chœur)
Acte troisième 12: Scène 1 - Scène « Où me conduisez-vous ? » (Olimpie, L’Hiérophante) 13: Scène 2 - Récit « Dieux, secourez Cassandre et protégez sa vie ! » (Olimpie) 14: Scène 2 - Air « Ô saintes lois de la nature ! » (Olimpie) 15: Scène 3 - Scène « Ô reine ! accomplissez le serment qui vous lie » (Antigone, Statira, Olimpie) 16: Scène 3 - Trio « Que n’est-il vrai ! » (Statira, Antigone, Olimpie) 17: Scène 4 - Scène « Seigneur, Cassandre est libre » (Hermas, Statira, Antigone, Olimpie) 18: Scène 5 - Scène « Viens, suis-moi ! » (Cassandre, Olimpie) 19: Scène 5 - Duo « Voilà donc ton amour, et la foi qui nous lie ! » (Cassandre, Olimpie) 20: Scène 6 - Scène « Quels accents effroyables ! » (Olimpie, L’Hiérophante, Chœur) 21: Scène 7 - Scène « Cassandre !... Ô rage !... » (Antigone, L’Hiérophante, Chœur); Scène 8 - « Éphèse est sous ma loi, traîtres ! » (Cassandre, Antigone, L’Hiérophante, Chœur) 22: Scène 9 - Serment général « Vive à jamais notre reine » (Statira, Cassandre, Olimpie, L’Hiérophante, Chœur)
According to Berlioz, Spontini was – after Gluck – the greatest genius of French music to pave the way for the Romantic era. And it may well be that the little-known Olympie, premiered in 1819 and subsequently revived in 1826 under the modified title Olimpie, had a greater influence than we have hitherto imagined on the massive upheaval that was to set French opera on the path of the modern ‘grand opéra’. From start to finish, this finely polished score, with its astonishing orchestration, is full of spectacular effects that clearly look forward to Les Troyens of Berlioz. The omnipresence of a huge chorus, the valiant vocal writing for Antigonus, the pathos of the role of Statira (conceived for Caroline
Branchu, then at the peak of her career): all the ingredients were there to make a powerful impact on listeners such as Berlioz, who was moved to tears. Here, undoubtedly, is one of the first epic canvases of the nineteenth century.