Didier Barbelivien - Dédicacé (2013) Lossless
BAND/ARTIST: Didier Barbelivien
- Title: Dédicacé
- Year Of Release: 2013
- Label: Sony Music
- Genre: Pop, Chanson
- Quality: FLAC (tracks)
- Total Time: 53:40
- Total Size: 408 mb
- WebSite: Album Preview
Tracklist:
01. Tant qu'il y aura des chansons [03:55]
02. Les héros de juillet [03:22]
03. La musique italienne (en duo avec Aylin Prandi) [03:23]
04. Numero 1 du top album [03:43]
05. Césaire - Senghor [04:20]
06. Les manèges de la vie [03:12]
07. Le trapeziste [03:23]
08. Cet ami-là [03:09]
09. Les p'tits garçons qui tiennent leur maman par la main [03:47]
10. Elle n'y pense plus [03:41]
11. Les ballades de Steve McQueen [03:44]
12. Paris 1967 [03:44]
13. 33t vinyl [03:15]
14. Dieu a inventé la radio [03:08]
15. Le dernier chanteur de slow [04:01]
01. Tant qu'il y aura des chansons [03:55]
02. Les héros de juillet [03:22]
03. La musique italienne (en duo avec Aylin Prandi) [03:23]
04. Numero 1 du top album [03:43]
05. Césaire - Senghor [04:20]
06. Les manèges de la vie [03:12]
07. Le trapeziste [03:23]
08. Cet ami-là [03:09]
09. Les p'tits garçons qui tiennent leur maman par la main [03:47]
10. Elle n'y pense plus [03:41]
11. Les ballades de Steve McQueen [03:44]
12. Paris 1967 [03:44]
13. 33t vinyl [03:15]
14. Dieu a inventé la radio [03:08]
15. Le dernier chanteur de slow [04:01]
Didier Barbelivien n'a pas son égal à diviser et creuser malgré lui le fossé des générations. Auteur incontestable de grands succès du Top 50 réputé pour ses prises de position politiques, tête à claques de l'intelligentsia parisienne, cible favorite des médias, il n'est pas du genre à s'autocensurer et se maintient envers et contre tout (tous ?) dans le dernier cercle des valeurs sûres de la chanson au moment où bien des statues chutent de leur piédestal. Preuve en est de ses deux derniers albums Atelier D'Artistes (2009) et Mes Préférences (2011) vendus chacun à plus de 200 000 exemplaires et son récent Best of, triple CD écoulé à 35 000 auditeurs, des chiffres à rendre certains jaloux.
Ce nouvel album en forme de test pour le marché du disque ne table pas sur d'autre recette que celle de la nostalgie, chère à l'auteur des deux albums originaux précités et dont Dédicacé constitue le dernier volet d'une trilogie. Après les héros lointains et les coups de coeur, place aux amis croisés plus ou moins longuement mais qui chacun à leur manière ont marqué le chanteur. Sans se démarquer de son style fait d'arrangements aussi simples qu'efficaces, d'un tempo tournant au ralenti et d'une voix mi-parlé mi-chantée pénétrée, Didier Barbelivien trousse une quinzaine d'odes à des célébrités comme Claude François (« Tant qu'il y aura des chansons »), Hervé Vilard (en fan du Tour de France dans « Les Héros de juillet ») ou, plus surprenant pour certains, Christophe, le dernier des Bevilacqua, à l'honneur dans « La Musique italienne ».
Il n'y a pas que des vedettes du spectacle dans Dédicacé, comme en atteste la chanson « Césaire - Senghor » dédiée à deux grands poètes disparus dont les paroles ont rendu sa fierté au peuple noir, sur fond de chant et percussions zoulou. Tel un jeu de pistes, Didier Barbelivien sème les indices dans les textes sans nommer les dédicataires (excepté « La Ballade de Steve McQueen »). Ainsi certains reconnaîtront le chanteur déchu de « Numéro 1 du Top Album » ou le proche compagnon de route de « Cet ami-là » (« Il faisait mes étés, mes printemps, mon lilas...»). D'autres souvenirs défilent dans un album à l'instrumentation variée selon les évocations (accordéon, guitare, piano...). De quoi ravir les fidèles du croisé de la chanson française.
Ce nouvel album en forme de test pour le marché du disque ne table pas sur d'autre recette que celle de la nostalgie, chère à l'auteur des deux albums originaux précités et dont Dédicacé constitue le dernier volet d'une trilogie. Après les héros lointains et les coups de coeur, place aux amis croisés plus ou moins longuement mais qui chacun à leur manière ont marqué le chanteur. Sans se démarquer de son style fait d'arrangements aussi simples qu'efficaces, d'un tempo tournant au ralenti et d'une voix mi-parlé mi-chantée pénétrée, Didier Barbelivien trousse une quinzaine d'odes à des célébrités comme Claude François (« Tant qu'il y aura des chansons »), Hervé Vilard (en fan du Tour de France dans « Les Héros de juillet ») ou, plus surprenant pour certains, Christophe, le dernier des Bevilacqua, à l'honneur dans « La Musique italienne ».
Il n'y a pas que des vedettes du spectacle dans Dédicacé, comme en atteste la chanson « Césaire - Senghor » dédiée à deux grands poètes disparus dont les paroles ont rendu sa fierté au peuple noir, sur fond de chant et percussions zoulou. Tel un jeu de pistes, Didier Barbelivien sème les indices dans les textes sans nommer les dédicataires (excepté « La Ballade de Steve McQueen »). Ainsi certains reconnaîtront le chanteur déchu de « Numéro 1 du Top Album » ou le proche compagnon de route de « Cet ami-là » (« Il faisait mes étés, mes printemps, mon lilas...»). D'autres souvenirs défilent dans un album à l'instrumentation variée selon les évocations (accordéon, guitare, piano...). De quoi ravir les fidèles du croisé de la chanson française.
Pop | Musique Française | FLAC / APE
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