VA - Bernard Lenoir - L'inrockuptible 2 [2CD] (2013)
BAND/ARTIST: Various Artists
- Title: Bernard Lenoir - L'inrockuptible 2
- Year Of Release: 2013
- Label: Parlophone [50531-0598282-0]
- Genre: Rock, Electronic, Pop, Indie, Alternative
- Quality: CBR 320 kbps / FLAC (tracks+.cue,log)
- Total Time: 2:37:44
- Total Size: 361 mb / 1.02 gb
- WebSite: Album Preview
Et c’est reparti pour un tour. On n’a visiblement pas été les seuls à succomber à la nostalgie du volume 1 et on imagine bien la frustration pour Bernard Lenoir de devoir résumer 20 ans d’émission sur France Inter en seulement 38 morceaux. Voici donc le volume 2 (en mode double album à nouveau) de Bernard Lenoir, l’inrockuptible, histoire d’en remettre une couche ou d’enfoncer le clou, tout dépend d’où vous en êtes dans vos travaux de rénovation d’entrée en quarantaine.
Le plaisir, voila ce qui ressort à nouveau de cette compilation. Le plaisir de retomber sur des morceaux qu’on n’a pas entendu depuis 20 ans, ceux qu’on adorait (typiquement "Kill your television" de Ned’s atomic dustbin) mais aussi ceux qu’on avait oublié (et qui font leur bel effet comme "**** and run" de Liz Fair). Le plaisir de (re)découvrir des groupes au nom évocateur (Papas fritas, Sebadoh ou Felt) ou non (The Chameleons). Le plaisir de retrouver aussi ces groupes qui ont marqué leur époque et qu’on avait un peu laissé de côté. Pulp bien sûr mais aussi, avec d’excellents choix de morceaux, Sparklehorse ("Homecoming queen"), Elysian Fields ("Black acres"), Eels ou encore Nick Cave & PJ Harvey. Le plaisir toujours de voir d’un autre œil ceux qu’on connaissait comme ça en passant mais qui le temps d’un morceau passent dans une autre dimension, Calexico et son "Fortune teller" ou encore Morrisey (qu’on avait jusqu’ici toujours trouvé bien inférieur à The Smiths) et le superbe "Why don’t you find out for yourself". Le plaisir enfin de voir en bonne place nos groupes référents, ceux vers lesquels on se tourne toujours régulièrement pour des retours aux sources bienvenus. Il s’agit là du gros de la troupe, on n’est guère surpris, les Lady & Bird, Elliott Smith, Divine Comedy, Go-Betweens, Pale Saints, Little Rabbits, Charlatans, Boo Radleys, Lemonheads, Catchers, Sonic Youth, Joseph Arthur, Kristin Hersh (ou comment transformer une chronique en name-dropping géant, on frôle l’absurdité totale). Nos propres incontournables main dans la main comme aux plus beaux jours de nos soirées radiophoniques d’antan, que demander de plus ?
Allez, puisque la franchise semble être florissante et qu’on ne voit pas pourquoi on échapperait au volume 31, quelques propositions en vrac et dans le désordre, histoire de voir ce qui manque au programme. Un petit Inspiral Carpets qui pulse bien ("Generations"), Jude ("Prophet") pour subjuguer l’auditoire, Belly ("Slow dog" ou "Gepetto") parce que pas de Lenoir sans Belly, Diabologum ("A découvrir absolument") pour le quota de français (mais pas que, on est bien d’accord), Elastica ("Stutter") pour relancer la dynamique en court mais intense, The house of love ("Shine on") parce que pas de Lenoir sans House of Love, Sleeper ("Alice in vain") pour notre revival personnel de 2013, Unbelievable Truth ("Same mistakes") puisque c’est assez incroyable que le groupe n’ait pas trouvé son chemin sur les deux premières compilations ou encore Miossec ("Crachons veux-tu bien") pour à peu près la même raison. Quand on voit la quantité de groupes indispensables déjà présents sur ces compilations et celles à venir, tous ces groupes venus jusqu’à nous grâce à un seul homme (ou presque), ça laisse songeur. C’est à se demander comment font les jeunes générations sans Bernard Lenoir. Ah oui, elles ont internet c’est vrai (et donc le cargo !2). Elles auront aussi désormais les compiles colorées de Bernard Lenoir, le passage à la postérité étant assuré !
Le plaisir, voila ce qui ressort à nouveau de cette compilation. Le plaisir de retomber sur des morceaux qu’on n’a pas entendu depuis 20 ans, ceux qu’on adorait (typiquement "Kill your television" de Ned’s atomic dustbin) mais aussi ceux qu’on avait oublié (et qui font leur bel effet comme "**** and run" de Liz Fair). Le plaisir de (re)découvrir des groupes au nom évocateur (Papas fritas, Sebadoh ou Felt) ou non (The Chameleons). Le plaisir de retrouver aussi ces groupes qui ont marqué leur époque et qu’on avait un peu laissé de côté. Pulp bien sûr mais aussi, avec d’excellents choix de morceaux, Sparklehorse ("Homecoming queen"), Elysian Fields ("Black acres"), Eels ou encore Nick Cave & PJ Harvey. Le plaisir toujours de voir d’un autre œil ceux qu’on connaissait comme ça en passant mais qui le temps d’un morceau passent dans une autre dimension, Calexico et son "Fortune teller" ou encore Morrisey (qu’on avait jusqu’ici toujours trouvé bien inférieur à The Smiths) et le superbe "Why don’t you find out for yourself". Le plaisir enfin de voir en bonne place nos groupes référents, ceux vers lesquels on se tourne toujours régulièrement pour des retours aux sources bienvenus. Il s’agit là du gros de la troupe, on n’est guère surpris, les Lady & Bird, Elliott Smith, Divine Comedy, Go-Betweens, Pale Saints, Little Rabbits, Charlatans, Boo Radleys, Lemonheads, Catchers, Sonic Youth, Joseph Arthur, Kristin Hersh (ou comment transformer une chronique en name-dropping géant, on frôle l’absurdité totale). Nos propres incontournables main dans la main comme aux plus beaux jours de nos soirées radiophoniques d’antan, que demander de plus ?
Allez, puisque la franchise semble être florissante et qu’on ne voit pas pourquoi on échapperait au volume 31, quelques propositions en vrac et dans le désordre, histoire de voir ce qui manque au programme. Un petit Inspiral Carpets qui pulse bien ("Generations"), Jude ("Prophet") pour subjuguer l’auditoire, Belly ("Slow dog" ou "Gepetto") parce que pas de Lenoir sans Belly, Diabologum ("A découvrir absolument") pour le quota de français (mais pas que, on est bien d’accord), Elastica ("Stutter") pour relancer la dynamique en court mais intense, The house of love ("Shine on") parce que pas de Lenoir sans House of Love, Sleeper ("Alice in vain") pour notre revival personnel de 2013, Unbelievable Truth ("Same mistakes") puisque c’est assez incroyable que le groupe n’ait pas trouvé son chemin sur les deux premières compilations ou encore Miossec ("Crachons veux-tu bien") pour à peu près la même raison. Quand on voit la quantité de groupes indispensables déjà présents sur ces compilations et celles à venir, tous ces groupes venus jusqu’à nous grâce à un seul homme (ou presque), ça laisse songeur. C’est à se demander comment font les jeunes générations sans Bernard Lenoir. Ah oui, elles ont internet c’est vrai (et donc le cargo !2). Elles auront aussi désormais les compiles colorées de Bernard Lenoir, le passage à la postérité étant assuré !
:: TRACKLIST ::
Disc 1
1. Pulp – Do You Remember The First Time
2. The Chameleons – Don't Fall
3. Theatre Of Hate – Do You Believe In The Westworld?
4. Papas Fritas – Way You Walk
5. Katerine – Je Vous Emmerde
6. Ned's Atomic Dustbin – Kill Your Television
7. Liz Phair – Fuck And Run
8. Sugar – A Good Idea
9. Sonic Youth – Sugar Kane
10. Elysian Fields – Black Acres
11. Sparklehorse – Homecoming Queen
12. Julee Cruise – Falling
13. Lambchop – Is A Woman
14. Nick Cave & The Bad Seeds – Henry Lee (feat. PJ Harvey)
15. Sebadoh – Soul & Fire
16. Lady & Bird – Suicide Is Painless
17. Calexico – Fortune Teller
18. Silvain Vanot – La Vie Qu'on Aime
19. Eels – Not Ready Yet
20. Elliott Smith – Baby Britain
Disc 2
1. The Blue Nile – Let's Go Out Tonight
2. Jay-Jay Johanson – So Tell The Girls That I'm Back In Town
3. The Divine Comedy – Becoming More Like Alfie
4. The Go-Betweens – Was There Anything I Could Do?
5. Supergrass – Mansize Rooster
6. Pale Saints – Throwing Back The Apple
7. Little Rabbits – La Piscine
8. Aztec Camera – Oblivious
9. A House – Endless Art
10. The Charlatans – The Only One I Know
11. The Boo Radleys – Lazarus
12. Felt – Penelope Tree
13. Morrissey – Why Don't You Find Out For Yourself
14. Lemonheads – It's A Shame About Ray
15. Emiliana Torrini – Sunny Road
16. Vic Chesnutt – Supernatural
17. Laura Veirs – Rapture
18. Joseph Arthur – In The Sun
19. Lisa Germano – Geek The Girl
20. Kristin Hersh – Your Ghost (feat. Michael Stipe)
21. Catchers – Cotton Dress
22. Camille – Quand Je Marche
Pop | Alternative | Indie | Electronic | FLAC / APE | Mp3
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